Avec une assurance en cas de vie (à ne pas confondre avec l’assurance en cas de décès, ces deux types de contrats étant généralement appelés assurance-vie), je me constitue un capital petit à petit, moyennant un versement mensuel.
Ce capital me sera délivré, si je suis encore vivant, au terme du contrat prévu (après, donc, un certain nombre d’années). Je peux aussi choisir qu’il soit transformé en rente viagère à la fin du contrat.
Le Plan Épargne Retraite Populaire
Et pourquoi pas le Plan Épargne Retraite Populaire (Perp) ? Avec ce plan d’épargne, je verse des primes tout au long de ma vie active. Le capital constitué est précisément débloqué lorsque je deviens retraité, et uniquement sous la forme de rente. En plus, ce contrat présente des avantages fiscaux : les cotisations versées sur un Perp sont déductibles de mes revenus !
Le Plan d’épargne pour la retraite collectif
Le Perco, quant à lui, est un plan d’épargne entreprise, qui concerne les salariés (ou les chefs de petites entreprises). Avec lui, je constitue un capital ou bien une rente qui me sera délivré au moment où je quitterai la vie active.
Ici aussi, il existe des avantages fiscaux : le capital versé à la retraite n’est pas imposé, et la rente n’est imposée que partiellement.
L’épargne Retraite Entreprise
Enfin, dernier plan d’épargne qui m’aide à préparer ma retraite : le Pere (Plan d’Epargne Retraite Entreprise). Il s’agit d’un contrat de retraite supplémentaire, auquel je suis obligé d’adhérer en tant que salarié d’une entreprise qui le propose. Les versements sont effectués par l’entreprise sous forme de pourcentage du salaire, mais je peux aussi effectuer des versements complémentaires.
La mobilisation de la capacité d’épargne, au plus tôt !
Mon conseiller me demandera de le faire au plus tôt… C’est-à-dire bien avant mes 50 ans et avant que mes enfants ne soient en âge de faire des études – ils sont en effet susceptibles de mobiliser une part de ma possibilité d’épargne !